Cathy Anne Hackspill : Voyante et journaliste

Vous êtes voyante et journaliste. Vous venez de publier « le Guide des Meilleurs voyants de Paris ». Malgré votre bonne connaissance de l’activité de voyance, avez-vous pu garder un avis neutre pour distinguer les meilleurs voyants ?

Avant tout, je vous remercie pour votre interview et j’espère répondre au mieux à vos lecteurs.

Pour vous répondre le plus clairement possible, j’aimerais revenir un instant sur la raison de ces activités de voyante et journaliste.

Je n’avais jamais envisagé d’être voyante, ni journaliste d’ailleurs, ce sont des chemins qui se sont naturellement imposés à moi. Il y a presque dix ans, alors que je travaillais en agence de publicité, j’ai choisi de changer de voie et de proposer des consultations de voyance. Ce choix fut un moment important de mon existence, j’allais, je l’espérais, pouvoir aider les autres et par là-même, trouver ma place. Ma rencontre avec le Tarot de Marseille, grâce à mon compagnon, fut une révélation. J’ai dès le début effectué une lecture intuitive du jeu, en m’efforçant de traduire via ce merveilleux support ce que je ressentais des évènements, d’une situation ou d’une personne. Je ne connaissais pas le jeu, je ne faisais même pas la différence – pour ceux qui connaissent – entre une épée et un bâton (car j’utilise tout le jeu). Pendant longtemps, je n’ai jamais lu aucun livre, par peur de m’enfermer dans une interprétation ou une symbolique qui ne m’appartenait pas. Je me laissais porter par la magie des Arcanes, de leurs combinaisons, du chemin qui s’inscrivait devant moi et qui racontait celui de la personne que j’avais en face de moi. Je restais stupéfaite de la précision, de la profondeur des tirages. Je suis encore impressionnée et émerveillée aujourd’hui. Parce que j’ai un caractère qui m’amène à toujours vouloir comprendre de quelles manières les choses fonctionnent, je me suis demandé comment fonctionnait cette intuition si fulgurante parfois, comment pouvait-on, face à des cartes, dire des choses aussi incroyables, vraies et précises… Il a toujours été évident pour moi que si je pouvais le faire, tout le monde pouvait le faire, à des degrés divers, certes. Ce fut la raison de la mise en place, en 2001, de mes « ateliers intuition », que je propose encore aujourd’hui. Ces ateliers, je les ai voulus accessibles à tout public et ils ont pour objectif de permettre à chacun de comprendre ce qu’est l’intuition, d’apprivoiser son propre mécanisme intuitif, d’éviter les écueils et éventuellement, pour ceux intéressés, de travailler le Tarot. Le tout sur un mode ludique et pratique, avec des exercices, des questions et des anecdotes, qui aident à mettre en évidence nos fonctionnements.

Avec l’expérience tellement enrichissante de ces ateliers, j’ai voulu aller plus loin et l’écrire pour la mettre à disposition, d’où la parution en 2005 d’un petit guide aux éditions Michel Jonasz intitulé « L’intuition pratique ». C’est comme cela que j’ai tout naturellement commencé à écrire sur ces sujets d’intuition et de voyance.

Puis certains des journalistes qui avaient écrit sur moi et avec qui j’échangeais sur ces sujets m’ont demandé d’écrire pour leurs magazines, c’est comme cela que j’ai écrit pour quelques féminins. J’en profite d’ailleurs pour les remercier de leur confiance. J’ai même écrit pour la presse people ! C’est en voyant une Une d’un couple célèbre qui se séparait, je m’étais dit  « oh non, pas eux », et j’ai proposé un tirage pour voir ce qui se passait ! Cela a été une très belle expérience car j’ai écrit des choses incroyables sur des personnes que je ne connaissais absolument pas, que je n’aurais probablement  jamais en face de moi, qui se sont avérées vraies par la suite !

J’ai toujours aimé écrire et je trouvais dans cette nouvelle voie un très bon équilibre avec mes consultations et mes ateliers. Cela me permettait également de travailler de chez moi, et comme j’ai cinq enfants, cela me convient très bien !

Quant au guide « Les meilleurs voyants de Paris », il est né d’une intuition… Sandrine, qui est directrice de la collection « Paris est à nous » chez Parigramme (la maison d’édition) et que j’avais eu l’occasion de rencontrer lors de la parution d’un guide sur l’ésotérisme dans lequel j’étais citée en tant que voyante, aime raconter l’anecdote : elle pensait à moi lorsque le téléphone a sonné ! Je savais qu’il fallait que je l’appelle et s’en est suivie une conversation passionnante sur la voyance et la demande du public. Une des questions principales, lorsque l’on parle de voyance, est de savoir qui aller consulter. Et au-delà de qui, j’ai surtout voulu répondre à qui est le plus « apte », dans sa manière de faire, à répondre au mieux à mes attentes : un voyant, un astrologue, un numérologue ? Et quelle technique : un support et lequel, une voyance pure ? Je me suis mise à la place de quelqu’un qui n’y connaît rien et se demande comment faire. La collection « Paris est à nous » est une collection pratique qui traite de tous les sujets de la capitale, des meilleurs brunchs parisiens, aux chorales, au chocolat en passant par les chats ou encore où trouver le calme ou bien où s’embrasser !  C’est une collection que j’ai toujours trouvée super : des petits guides pas chers, que l’on glisse dans son sac, bourrés d’adresses pour découvrir, apprendre ou s’amuser. Il me semblait évident que la manière dont j’abordais le sujet cadrait parfaitement avec l’esprit de la collection. Encore une fois, mon objectif lorsque j’écris est toujours d’éclaircir les choses, expliquer, renseigner et surtout, être pratique. Il ne s’agissait donc pas de faire un guide de la voyance ou des voyants, mais de faire un guide sur ce qui se passe à Paris autour de la voyance, de la consultation à la formation, et que chacun qui s’intéresse à ce sujet puisse y trouver son compte.

Pour répondre à votre question, et excusez-moi si j’ai été aussi longue, je connais l’activité de voyance en tant que voyante et parce que j’ai été amenée à travailler sur ces sujets. En revanche, au vu de mon parcours, je ne connaissais aucun voyant et je dois dire que j’avais des connaissances très faibles en astrologie ou numérologie. Comme je suis curieuse de nature, ce fut d’autant plus passionnant. J’ai énormément appris. Avant que je ne commence à enquêter, je connaissais deux voyants : un ami que j’ai consulté une fois il y a quinze ans (ce fut d’ailleurs ma première consultation et également mon avant-dernière !) et une voyante, qui fut d’abord une amie avant que je ne la connaisse en tant que voyante ! C’est donc de manière très neutre que j’ai commencé mon travail, puisque je ne connaissais quasiment personne et finalement, peu de choses sur les techniques. J’ai d’abord demandé autour de moi qui consultait qui, s’ils étaient satisfaits, pourquoi, etc. C’est comme cela que j’ai fait une première « sélection », comme le bouche à oreille. Je pense d’ailleurs que ce moyen reste le meilleur pour choisir un voyant.

Le guide s’articule donc autour de plusieurs axes : tout d’abord, comprendre la voyance, avec des définitions des voyances et de ses pratiques, un peu d’histoire et quelques conseils pour bien choisir son voyant et éviter les mauvais ! Il me semblait en effet important de « défricher » la voyance pour que chacun sache où il met les pieds. J’ai ensuite proposé une sélection de voyants. Je n’ai en aucun cas voulu tester qui que ce soit. Mon objectif était simplement que chaque voyant (astrologue ou numérologue) m’explique sa manière de travailler pour que je puisse la transmettre et que chacun puisse choisir en fonction de ce qu’il recherche : plutôt faire un point, répondre à une question précise, comprendre sa relation affective… Au-delà donc du choix de la technique, c’est avant tout une question de feeling : on le sent ou non. Et mieux vaut ne pas aller voir quelqu’un que l’on ne sent pas, c’est une question de bon sens. Ma sélection ne se fonde donc pas sur un test, je n’ai fait aucune consultation, mais bien sur une rencontre, un échange. Et certains échanges ont été merveilleux. Toutes les personnes citées, je les ai interviewées, pour pouvoir sentir et comprendre leur façon de travailler, leur approche du consultant. Ils m’ont tous été recommandés par des amis, des amis d’amis, parfois par des consultants de confiance. Et tous sont évidemment respectueux, honnêtes et recherchent à apporter le meilleur dans leurs réponses.

Sur quels critères dites-vous que tel ou tel voyant est le meilleur ?

Pour moi, un voyant est « le meilleur » lorsque la personne qui vient le voir est satisfaite de la consultation, lorsque le voyant répond au mieux à ses attentes. Un bon voyant est avant tout à l’écoute, disponible et respectueux.

Je fais ici une petite précision sur la méthodologie employée qui est utile car cela éclaire : je n’ai ni testé, ni jugé et encore moins noté les personnes que j’ai rencontrées. Il n’y a pas de hiérarchie. J’ai simplement demandé que l’on m’explique afin de retraduire du mieux possible l’approche et la méthode pour que ceux qui souhaitent consulter puissent trouver le voyant, l’astrologue ou le numérologue qui leur conviendra le mieux. Mon objectif a toujours été de pouvoir orienter au mieux les choix en fonction des attentes. Ce fut à chaque fois de belles rencontres, certaines intenses et fabuleuses, et le fait d’être voyante m’a aidée à mieux cerner et mieux comprendre, c’était un avantage certain (mais comme dans toute autre interview du livre). Par souci de transparence, j’ai à chaque fois dit à mes interlocuteurs ce que je faisais, et l’accueil a été d’autant plus chaleureux, certains m’ont dit « enfin quelqu’un qui peut comprendre », car en effet, je peux aisément comprendre les problématiques auxquelles un voyant se trouve confronté !

Avez-vous rencontré des voyants qui vous ont déçue ?

Toutes les rencontres que j’ai faites ont été riches d’enseignements, une rencontre est toujours riche. Ma « sélection préalable » était déjà axée sur des personnes qui possédaient les qualités citées ci-dessus, mais qui surtout possèdent – c’est ce qui me semble être le plus important – une rigueur dans leur démarche, qui sont sérieux et honnêtes. En revanche, il y a des personnes avec lesquelles j’ai plus accroché, que j’ai plus appréciées, qui m’ont touchée. Mais c’est une opinion très personnelle, les affinités qui existent entre des personnes sont liées aux caractères, aux parcours, aux évolutions de chacun. Une rencontre est une alchimie entre deux êtres, cela peut très bien fonctionner, comme moins bien. C’est tout à fait valable pour la relation entre un consultant et un voyant.

Avez-vous eu des surprises lors de votre enquête ?

Oh oui ! J’ai surtout été très impressionnée par la diversité des techniques. Finalement, chaque voyant a sa manière de faire, son approche et sa spécificité. C’est d’une richesse incroyable. Je n’ai pas eu de surprises particulières, plutôt de bonnes surprises liées à des rencontres exceptionnelles. J’ai aussi été impressionnée par la passion que ces hommes et femmes avaient dans la pratique de leur métier, c’est à la fois très rassurant et touchant.

Votre guide se limite aux voyants de Paris. Pourquoi ? Songez-vous à l’avenir proposer un guide avec l’ensemble des voyants de France ?

C’est avant tout la collection « Paris est à nous » qui me plaisait, je n’avais jamais envisagé de faire un guide de voyants ! En revanche, parler de ce qu’est la voyance, la rendre accessible, car malheureusement encore aujourd’hui, le terme est galvaudé et l’image de cette profession n’est pas toujours très positive, c’est ce que j’avais envie de faire. Et surtout, de par mon expérience à la fois en tant que voyante mais aussi en tant que journaliste, je me suis rendu compte que ce que cherchaient les gens avant tout, c’était à la fois d’y voir un peu plus clair, mais également de savoir qui peut leur apporter quoi. Ils veulent un choix pratique, une voyance accessible, loin des mystères de nos mesdames Irma ancestrales ! La voyance est aujourd’hui décomplexée, accessible, pratique, bref, moderne.

C’est donc avant tout parce que la collection me plaisait, que je voulais aborder le sujet de cette manière, que cela a donné ce guide. Je voulais aussi parler de ce qui se passait à Paris, notre capitale regorge de bonnes adresses, lieux incroyables, insolites, outre les voyants, il existe des conférences, des formations et chacun peut trouver ce qui lui correspond (même si j’imagine très bien qu’il existe aussi en dehors de Paris des tas de gens et de choses formidables). A priori, je n’envisage pas d’étendre mon enquête aux voyants de France, d’autant plus que votre site fait un remarquable travail là-dessus !

Pour ceux qui souhaitent consulter un voyant, pouvez-vous indiquer quelques recommandations afin de faire le bon choix ?

Si j’avais une recommandation d’ordre général à faire lorsque l’on consulte, c’est avant tout de ne jamais se départir de son bon sens, de son indépendance d’esprit, de garder son libre-arbitre. D’utiliser la voyance comme un outil, utile pour éclairer des situations complexes ou parfois bloquées.

Le premier conseil que je donnerais pour choisir un voyant, c’est de demander autour de vous. Le meilleur moyen de choisir son voyant, et particulièrement lorsque l’on consulte pour la première fois, c’est le bouche à oreille et votre copine reste la mieux placée pour vous recommander un voyant, vous dire comment il travaille et probablement vous raconter sa propre expérience ! Ensuite, à vous de voir si cela vous convient. Lorsque vous prenez contact pour une éventuelle consultation, n’hésitez pas à demander des explications et surtout, une règle de base : si vous ne le sentez pas, ne le faites pas. Certains voyants sont connus « sur la place » et ont bonne réputation, ils sont en général fiables et compétents. En revanche, évitez les publicités, généralement vous n’avez aucune assurance sur qui va vous répondre et encore moins ses qualités (il s’agit parfois d’étudiants qui ne sont même pas formés).

Les forums peuvent vous informer mais certains y font aussi leur pub ! Prenez le temps de vous informer.

Finalement, bon sens et intuition restent le meilleur cocktail pour un choix judicieux. Et n’oubliez pas, un voyant est avant tout quelqu’un comme vous et moi, avec sa personnalité, ses idées, sa manière de voir le monde et il faut que le courant passe pour que vous soyez satisfait. Une consultation réussie, c’est avant tout un bel échange, parfois intense, dont vous ressortirez ragaillardi, positif, avec des clefs pour avancer.

Evitez les personnes qui brodent et vous racontent des généralités, souvent assorties de conseils psychologiques médiocres. Evitez les copinages qui peuvent nuire à la relation, même si, bien entendu, la relation est forte car l’échange l’est, mais cette relation doit rester saine et équilibrée. C’est aussi le rôle du voyant de gérer la relation avec son consultant et il doit savoir rester à sa place. Fuyez les autoritaires et ceux qui vous font des leçons de vie déplacées. Bref, un voyant n’est pas votre copain, ni un maître d’école et encore moins un gourou.

Un voyant est un éclaireur, un défricheur, un passeur d’émotions, positif, humble et généreux.

Aujourd’hui, l’activité de voyance n’est pas réglementée. Est-ce possible ?

Malheureusement, la profession des arts divinatoires n’est pas réglementée. C’est dommageable, car cela pourrait très certainement éviter un nombre d’abus importants, abus qui peuvent parfois être dramatiques. D’un autre côté, il est vrai aussi que très souvent, lorsque la voyance est évoquée dans les médias, elle l’est de manière totalement déformée, c’est toujours plus intéressant de montrer les excès, les escroqueries. Cela dit, j’ai été très surprise de la qualité des personnes que j’ai rencontrées, de leur sérieux et leur honnêteté. Pour une profession non règlementée, d’une manière générale, cela se passe plutôt bien. Evidemment, tout le monde a entendu parler de la personne escroquée et cela existe malheureusement. Je crois que toutes les professions qui viennent en aide et se situent sur le registre de la psychologie sont confrontées à cette problématique d’abus, de dépendance, d’arnaques. Dans toutes les professions, il existe des gens malhonnêtes, le problème de la voyance, c’est que n’importe qui peut s’improviser voyant, avec plus ou moins de bonnes intentions.

Depuis plusieurs années maintenant, l’Institut National des Arts Divinatoires (l’INAD) fait un très bon travail pour mettre en place un code déontologique pour la profession et est bien entendu favorable à sa réglementation. En cas d’arnaque, l’Inad peut vous aider à entamer des poursuites.

Vous avez également sur votre site un très bon article sur votre site à ce sujet « voyance et justice ».

Je pense qu’inévitablement, cette profession sera amenée à être réglementée.

Comment peut-on éliminer le charlatanisme ?

Malheureusement, je ne suis pas sûre qu’en réglementant cette profession, on puisse venir à bout des charlatans. Encore une fois, dans toute profession, il existera toujours des « professionnels » qui abuseront de la crédibilité, méconnaissance, voire vulnérabilité des gens. Les bons voyants demeurent, ceux qui sont mauvais disparaissent assez vite. En ce qui concerne les arnaques, je crois qu’il ne faut pas hésiter à entamer des poursuites. En parler, prévenir et mettre en garde restent les meilleures armes contre ces pratiques. Et rappeler des principes de base : un retour d’affection monnayé en centaines voire milliers d’euros en liquide ou n’importe quel autre « travail occulte » ne fonctionne pas…

Quels sont vos projets ?

J’ai toujours des projets plein la tête ! J’ai d’autres projets d’ouvrages, pas forcément sur le même sujet, de guides, de rubriques. Je reprends mes ateliers intuition, car après un temps de pause (l’arrivée de mes jumeaux !), je me devais de répondre aux demandes qui me sont faites. J’ai également au moins deux nouveaux ateliers en préparation pour la rentrée. J’ai trouvé un bon équilibre entre l’écriture, les ateliers, les consultations. J’ai de la chance d’avoir des activités très complémentaires, d’être bien entourée, d’avoir trouvé ma voie, ce que je souhaite à chacun. La vie est si courte et si belle qu’il faut pouvoir profiter au maximum de chaque instant !

Une journée avec Cathy-Anne Hackspill c’est quoi ?

Mon emploi du temps est toujours assez chargé et variable. En général, j’amène mes enfants à l’école, puis je travaille le matin sur l’écriture ou mes consultations, pas plus de deux d’affilée. En ce moment, je consulte beaucoup par téléphone, je suis très à l’aise, je trouve que c’est un très bon « outil ». Les après-midi, je prends un peu plus de temps pour la réflexion, l’organisation de ces projets. Je prends des rendez-vous téléphoniques en fin de journée (pas plus de deux). J’essaye d’être disponible pour toutes questions ou explications, pour mon suivi, ce qui n’est pas toujours évident, et passe mes coups de fil à ce moment-là. Le dîner et la fin de soirée sont des moments privilégiés où l’on se retrouve. J’aime aussi travailler tard, voire la nuit, surtout quand j’ai un gros travail d’écriture et qu’à ces moments là, tout est calme. Je me réserve des moments « pour moi » pour me ressourcer, je fais du sport, monte à cheval, promène mon chien. Quand j’en ressens le besoin, je pars à la campagne, dans un endroit perdu au milieu des vaches où j’ai grandi et que mes enfants adorent !

 

Cathy-Anne Hackspill

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La Rédaction

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1 commentaire sur “Cathy Anne Hackspill : Voyante et journaliste

    Brunet

    (22 août 2020 - 17 h 34 min)

    Bonjour
    On se connaît car eu affaire à vous 3 fois et tous ce que vous m avez dit c est réalisé vous étés a l écoute et on est en confiance . Merci
    Bientôt je vous recontacterais car j ai encore quelque question sur mon avenir
    Sandra

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